L’espace qui suce

 

 

Sa queue est grande et dure.

Son sexe est grand et dur.

Sa bite est grande et dure.

 

Devant, loin devant lui – ça tire, ça démange.

L’espace le suce.

L’espace suce son suc.

L’espace tire son suc, jusqu’à ce qu’il se jette sur l’espace, dans l’espace, pénètre à une vitesse insensée cet espace –

augmente vertigineusement l’espace occupé par le corps-tige, le corps-piquet – ou le corps-écran, le corps-roue – du garçon.

Ce jet de démangeaison, démence-en-raison, ce jet de SPERME qui le fait, le garçon, homme.

Son jet “garçon–>homme”. Son projet.